Utilisateur:Brunodumaine/brouillonC
3ème brouillon
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le territoire de Mayenne n'est urbanisé qu'à 40 %, et une partie de la commune est encore composée d'espaces ruraux, incluant du bocage, des fermes, des champs et des vergers. L'urbanisation est toutefois rapide, et 32 hectares ont été construits entre 2003 et 2008, dont la moitié pour des logements[1]. La croissance de la ville est encore plus visible sur le long terme : entre 1949 et 1996, la surface urbanisée a gagné 230 hectares, soit une hausse de 270 %. Dans le même intervalle, la population n'a augmenté que de 40 %[2].
La ville est coupée en deux par la Mayenne, et les deux rives sont urbanisées de façon égale. L'espace construit peut se diviser en trois espaces : le centre-ville, qui regroupe l'habitat ancien, la périphérie, composée d'ensembles pavillonnaires et de petits immeubles, et les secteurs industriels et commerciaux, implantés au bord des grands axes. Le centre-ville comprend une partie classée, représentant cinq hectares. Une zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager est en réflexion avec le soutien technique de la Société d'archéologie et d'histoire de la Mayenne[1].
La ville est apparue à la fin du Haut Moyen Âge et s'est construite autour du château installé sur un promontoire rocheux dominant la rive droite. La rive gauche a d'abord été occupée par un prieuré, mais les deux rives ont toujours été urbanisées en quantité égale. Les environs du château possèdent encore un caractère médiéval, avec un parcellaire étroit et quelques ruelles. Le centre-ville témoigne aussi de l'époque moderne, avec l'ancien hôtel-de-ville du XVIIe siècle dit ancien palais de la barre ducale et de nombreux hôtels particuliers, organisés autour d'un axe marqué par les places de Hercé et Cheverus, ouvertes par Colbert. La fin du XIXe siècle restructure le centre de la ville avec l'aménagement des quais et les destructions qui l'accompagnent, le percement de la Nouvelle Traverse à l'est de la ville : axe rue Ambroise de Loré, nouveau pont (Ambroise de Loré, d'Orléans puis pont Mac-Racken) et rue Roulois classé RN 12. Autour de cet axe se construisent la caserne Mayran, le grand hôtel, la caisse d'épargne (), le restaurant municipal et l'hôpital RouloisModèle:EfN. Un événement modifie l'urbanisme de la rive Saint-Martin : le bombardement visant la gare le détruisant de nombreuses maisons, le viaduc et l'hôpital, il fait 328 victimes[3]. La reconstruction des années 1950 est reconnaissable en particulier place du , rue de la Madeleine et boulevard du Général Leclerc. Ces années là marquent un tournant : l'axe de la rivière, trop étroit, ne structure plus l'urbanisation, et ce sont les plateaux situés à l'ouest et à l'est du centre qui sont construits[2]. L'étalement urbain des dernières décennies a accentué le rôle structurant de l'axe rue Roullois—rue Ambroise-de-Loré, qui traverse la ville d'est en ouest et franchit la Mayenne sur le pont Mac-Racken. Cet axe date du XIXe siècle et il double celui qui passe par le pont Notre-Dame. Néanmoins, Mayenne conserve une structure à tendance concentrique, qui privilégie le centre-ville[2]. Une nouvelle étape est franchie avec le déclassement de la voie ferrée et son démontage en 1992. La libération de cette emprise permet la construction du centre culturel Le Grand Nord, la nouvelle salle de sport Jules-Ferry, le centre de la petite enfance et un ensemble immobilier d'immeubles sociaux Leny-Escudero.
Église Saint-Maurice de Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire
[modifier | modifier le code]Biographie
[modifier | modifier le code]Né le à Colmey au château de Martigny. Son père, administrateur foncier, est capitaine d'infanterie coloniale, son frère Hubert (1919 - 1944), lieutenant du 6e RCA est tué le lors de la bataille de Belfortde la dernière promotion de Saint Cyr de [4]
Domination franque, Mérovingiens et Carolingiens
[modifier | modifier le code]Domination franque, Mérovingiens, Carolingiens et début des Capétiens
[modifier | modifier le code]Domination franque
[modifier | modifier le code]Les francs sous la conduite du roi des francs Clovis poursuivent l'expansion de leur territoire à partir de Tournai et de Soissons et après avoir vaincu Syagrius considéré comme un usurpateur romain et d'autres petits royaumes germains contrôlent un territoire qui va du Rhin à la Loire dès 486. Les deux ennemis de ces Francs sont les Wisigoths et les Bretons. La prise de contrôle de la Neustrie, vaste territoire entre Seine, Loire et Villaine centré sur la future province du Maine se fait sans véritable violence vis à vis des populations Gallo-romaines dont les élites s'assimileront rapidement à l'aristocratie franque[5]; il n'y a pas de trace archéologique dans le Maine en particulier à Jublains ou à Le Mans d'incendie ou de destruction importante au moment de leur installation. Trois facteurs favorisent cette prise de pouvoir, la bonne connaissance et le respect du monde romain et de ses lois, Childéric Ier roi des Francs et père de Clovis se fait enterrer avec une tenue de général romain, le lien fort et le soutien, qui sera réciproque, du clergé gallo-romain, saint Remi évoque Clovis en l'appelant « custos patriae »; Clovis qui se recueille sur la tombe de saint Martin avant de combattre les Wisigoth au nom de la lutte contre l'arianisme en fait le saint des Francs. Le choix pour les élites gallo-romaines de cette dynastie franque est facilité par le fait que dans le délitement du pouvoir romain était considéré comme francs ceux qui refusaient l’impôt romain. Clovis représente la meilleur garantie du maintien du droit et de la protection des populations et de l'église. Il maintient une organisation civile et militaire calquée sur l'organisation romaine mais dont les responsables sont des proches appartenant aux familles aristocratiques de son entourage[6]. les titres de Duc et de Comte doivent s'entendre comme une charge essentiellement militaire mais également judiciaire et fiscale confiée par le roi et dont le caractère héréditaire sera postérieur, l'émergence de la féodalité sera une évolution carolingienne. Les spécificités de la société franque traduites dans la Loi salique sont la notion de famille ou plutôt de clan familial avec ses règles de transmission d'héritage et de responsabilité collective avec sa conséquence la faide et, d'autre part le rassemblement d'hommes libres liés par un serment à leur chef ou à leur roi, la truste, celles-ci sont le germe des dynasties royales et aristocratiques[7]
Les temps mérovingiens (481-751)
[modifier | modifier le code]L'enjeu à cette époque est de protéger l'ouest de la Neustrie des bretons sur lesquels l'influence franque n'a jamais été établie durablement et de servir de base de départ pour les expéditions en direction de la Bretagne et de l'Aquitaine. A l'ouest dans le Bas-Maine le pays est peu peuplé et une zone tampon forestière fait face à la frontière. A l'est le Haut-Maine plus peuplé abrite le centre du Maine l'évêché fondé au IVe siècle qui au départ aura surtout une autorité urbaine et sug-urbaine et dont l'enjeu sera la christianisation et l'extension de son autorité vers l'ouest réalisées au VIIe siècle. Le Mans devient le siège des comtes du Maine et Tours une ville de repli. L’intérêt royal se marque par une politique visant le maintien d'une autorité à l'ouest, Jublains malgré sa faible population reste le siège d'un tribun avec un statut de Vicaria ou de condita. Le Bas-Maine est considéré rattaché à l'évêché en 650, l'évêque Hadouin fonde l'Abbaye Notre-Dame d'Évron en 648 et la christianisation de l'ouest s’appuie sur les ermites (saint Cénéré, saint Longis, Saint Ernier, Saint Fraimbaut, saint Trèche, saint Contantien); malgré leur indépendance les actes de l'évêché revendiquent le fait qu'ils soient les envoyés de l'évêque[8].
Clovis, après avoir vaincu Syagrius à Soissons en 486 et éliminé physiquement d'autres chefs francs à la fonction imprécise dont ses trois cousins Ragnacaire, Riquier et Rignomer que Gregoire de Tours dans son Histoire des Francs situe malgré les incohérences comme roi du Mans[9], organise l'ouest de son royaume (l'appellation Neustrie apparait en 643[10]). Il s'appuie, comme ses successeurs, sur l'évêché du Mans et les fondations religieuses sur tout le territoire. Militairement un dux limitis est attesté par Gregoire de Tours avec la responsabilité des Marches de Bretagne, le duc Beppolene. Son autorité s'étend théoriquement du Rennais à l'Anjou et inclus probablement le Vannetais. De façon inhomogène il tient cette mission de Gontran roi franc des Burgonds et de Clotaire Ier roi franc de Neustrie; avec d'autres ducs de Chilpéric rassemblant des Tourangeaux,des Poitevins, des Manceaux, des Baïocasses (saxons) il conduit une expédition contre le chef breton Waroch II en 578 qui sera un échec. En 580 les Bretons dévastent Rennes; une contre offensive du duc des marches est suivie de nouvelles incursions bretonnes entre 580 et 587 dans le Nantais le Vannetais et le Rennais. En 590
Les temps carolingiens et l'émergence des féodalités (751-987)
[modifier | modifier le code]Les Capétiens et la reprise en main de Philippe Auguste (987-1223)
[modifier | modifier le code]((Ouvrage)) : paramètre titre
manquant
- Pascale Bourgain et Martin Heinzelmann, « « Courbe-toi, fier Sicambre, adore ce que tu as brûlé » : à propos de Grégoire de Tours, Hist., II, 31 », Bibliothèque de l'École des chartes, Paris / Genève, Librairie Droz, t. 154, 2e livraison, , p. 591-606 (lire en ligne).
- Geneviève Bührer-Thierry et Charles Mériaux, La France avant la France : 481-888, Paris, Belin, coll. « Histoire de France » (no 1), , 687 p. (ISBN 978-2-7011-5302-5, présentation en ligne), [présentation en ligne].
- Gaston Duchet-Suchaux et Patrick Périn, Clovis et les Mérovingiens, Paris, Tallandier, coll. « La France au fil de ses rois », 2002, (ISBN 978-2-235-02321-4).
- Léon Fleuriot, Les Origines de la Bretagne : l'émigration, Paris, Payot, coll. « Bibliothèque historique » (no 34), (1re éd. 1980), 353 p. (ISBN 2-228-12711-6, présentation en ligne), [présentation en ligne], [présentation en ligne].
- Patrick J. Geary, Le Monde mérovingien : naissance de la France [« Before France and Germany : The Creation and Transformation of the Merovingian World »], Paris, Flammarion, coll. « Histoires Flammarion », , 293 p. (ISBN 2-08-211193-8, présentation en ligne)Réédition : Patrick J. Geary, Le Monde mérovingien : naissance de la France [« Before France and Germany : The Creation and Transformation of the Merovingian World »], Paris, Flammarion, coll. « Champs. Histoire », , 292 p., poche (ISBN 978-2-08-124547-1).
- Marie-Céline Isaïa, Remi de Reims : mémoire d'un saint, histoire d'une Église, Paris, Éditions du Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France » (no 35), , 919 p. (ISBN 978-2-204-08745-2, présentation en ligne).
- Edward James, « Childéric, Syagrius et la disparition du royaume de Soissons », Revue archéologique de Picardie, nos 3-4 « Actes des VIIIe journées internationales d'archéologie mérovingienne de Soissons (19-22 Juin 1986) », , p. 9-12 (lire en ligne).
- Stéphane Lebecq, Nouvelle histoire de la France médiévale, vol. 1 : Les origines franques, Ve – IXe siècle, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Points. Histoire » (no 201), , 317 p. (ISBN 2-02-011552-2).
- Renée Mussot-Goulard, Clovis, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », , 126 p. (ISBN 978-2-130-48373-1, OCLC 2130483739).
- Patrick Périn, Clovis et la naissance de la France, Éditions Denoël, coll. « L'Histoire de France », (ISBN 978-2-207-23635-2).
- Patrick Périn (avec la collaboration de Monique et Gaston Duchet-Suchaux), Clovis. Archéologie et histoire, Paris, Errance, 1996, 160 p.
- Patrick Périn, « La tombe de Clovis », dans Media in Francia : recueil de mélanges offert à Karl Ferdinand Werner à l'occasion de son 65e anniversaire par ses amis et collègues français, Maulévrier / Paris, Hérault / Institut historique allemand, , XV-551 p. (ISBN 2-903851-57-3, lire en ligne), p. 363-378.
- Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, (ISBN 2-2135-9632-8), [présentation en ligne].
- Michel Rouche (dir.), Clovis, histoire et mémoire : actes du Congrès international d'histoire de Reims, 19-25 septembre 1996, vol. 1 : Le baptême de Clovis, l'événement, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , XIX-929 p. (ISBN 2-84050-079-5).
- Michel Rouche (dir.), Clovis, histoire et mémoire : actes du Congrès international d'histoire de Reims, 19-25 septembre 1996, vol. 2 : Le baptême de Clovis, son écho à travers l'histoire, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , XII-915 p. (ISBN 2-84050-079-5).
- Georges Tessier, Le baptême de Clovis : 25 décembre 496 (?), Paris, Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France » (no 1), , 427 p. (présentation en ligne), [présentation en ligne].Réédition : Georges Tessier, Le baptême de Clovis : 25 décembre 496 (?), Paris, Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France », , 2e éd. (1re éd. 1964), 420 p. (ISBN 2-07-026218-9).
- Laurent Theis, Clovis, de l'histoire au mythe, Bruxelles, Éditions Complexe, coll. « Le Temps et les hommes », (ISBN 978-2-87027-619-8).
- Karl Ferdinand Werner (sous la direction de Jean Favier), Histoire de France, t. 1 : Les origines : avant l'an mil, Paris, Librairie générale française, coll. « Références » (no 2936), (1re éd. 1984, Fayard), 635 p. (ISBN 2-253-06203-0).
- Karl Ferdinand Werner, « De Childéric à Clovis : antécédents et conséquences de la bataille de Soissons en 486 », Revue archéologique de Picardie, nos 3-4 « Actes des VIIIe journées internationales d'archéologie mérovingienne de Soissons (19-22 Juin 1986) », , p. 3-7 (lire en ligne).
- Pascale Bourgain et Martin Heinzelmann, « « Courbe-toi, fier Sicambre, adore ce que tu as brûlé » : à propos de Grégoire de Tours, Hist., II, 31 », Bibliothèque de l'École des chartes, Paris / Genève, Librairie Droz, t. 154, 2e livraison, , p. 591-606 (lire en ligne).
- Geneviève Bührer-Thierry et Charles Mériaux, La France avant la France : 481-888, Paris, Belin, coll. « Histoire de France » (no 1), , 687 p. (ISBN 978-2-7011-5302-5, présentation en ligne), [présentation en ligne].
- Gaston Duchet-Suchaux et Patrick Périn, Clovis et les Mérovingiens, Paris, Tallandier, coll. « La France au fil de ses rois », 2002, (ISBN 978-2-235-02321-4).
- Léon Fleuriot, Les Origines de la Bretagne : l'émigration, Paris, Payot, coll. « Bibliothèque historique » (no 34), (1re éd. 1980), 353 p. (ISBN 2-228-12711-6, présentation en ligne), [présentation en ligne], [présentation en ligne].
- Patrick J. Geary, Le Monde mérovingien : naissance de la France [« Before France and Germany : The Creation and Transformation of the Merovingian World »], Paris, Flammarion, coll. « Histoires Flammarion », , 293 p. (ISBN 2-08-211193-8, présentation en ligne)Réédition : Patrick J. Geary, Le Monde mérovingien : naissance de la France [« Before France and Germany : The Creation and Transformation of the Merovingian World »], Paris, Flammarion, coll. « Champs. Histoire », , 292 p., poche (ISBN 978-2-08-124547-1).
- Marie-Céline Isaïa, Remi de Reims : mémoire d'un saint, histoire d'une Église, Paris, Éditions du Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France » (no 35), , 919 p. (ISBN 978-2-204-08745-2, présentation en ligne).
- Edward James, « Childéric, Syagrius et la disparition du royaume de Soissons », Revue archéologique de Picardie, nos 3-4 « Actes des VIIIe journées internationales d'archéologie mérovingienne de Soissons (19-22 Juin 1986) », , p. 9-12 (lire en ligne).
- Stéphane Lebecq, Nouvelle histoire de la France médiévale, vol. 1 : Les origines franques, Ve – IXe siècle, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Points. Histoire » (no 201), , 317 p. (ISBN 2-02-011552-2).
- Renée Mussot-Goulard, Clovis, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », , 126 p. (ISBN 978-2-130-48373-1, OCLC 2130483739).
- Patrick Périn, Clovis et la naissance de la France, Éditions Denoël, coll. « L'Histoire de France », (ISBN 978-2-207-23635-2).
- Patrick Périn (avec la collaboration de Monique et Gaston Duchet-Suchaux), Clovis. Archéologie et histoire, Paris, Errance, 1996, 160 p.
- Patrick Périn, « La tombe de Clovis », dans Media in Francia : recueil de mélanges offert à Karl Ferdinand Werner à l'occasion de son 65e anniversaire par ses amis et collègues français, Maulévrier / Paris, Hérault / Institut historique allemand, , XV-551 p. (ISBN 2-903851-57-3, lire en ligne), p. 363-378.
- Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, (ISBN 2-2135-9632-8), [présentation en ligne].
- Michel Rouche (dir.), Clovis, histoire et mémoire : actes du Congrès international d'histoire de Reims, 19-25 septembre 1996, vol. 1 : Le baptême de Clovis, l'événement, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , XIX-929 p. (ISBN 2-84050-079-5).
- Michel Rouche (dir.), Clovis, histoire et mémoire : actes du Congrès international d'histoire de Reims, 19-25 septembre 1996, vol. 2 : Le baptême de Clovis, son écho à travers l'histoire, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , XII-915 p. (ISBN 2-84050-079-5).
- Georges Tessier, Le baptême de Clovis : 25 décembre 496 (?), Paris, Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France » (no 1), , 427 p. (présentation en ligne), [présentation en ligne].Réédition : Georges Tessier, Le baptême de Clovis : 25 décembre 496 (?), Paris, Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France », , 2e éd. (1re éd. 1964), 420 p. (ISBN 2-07-026218-9).
- Laurent Theis, Clovis, de l'histoire au mythe, Bruxelles, Éditions Complexe, coll. « Le Temps et les hommes », (ISBN 978-2-87027-619-8).
- Karl Ferdinand Werner (sous la direction de Jean Favier), Histoire de France, t. 1 : Les origines : avant l'an mil, Paris, Librairie générale française, coll. « Références » (no 2936), (1re éd. 1984, Fayard), 635 p. (ISBN 2-253-06203-0).
- Karl Ferdinand Werner, « De Childéric à Clovis : antécédents et conséquences de la bataille de Soissons en 486 », Revue archéologique de Picardie, nos 3-4 « Actes des VIIIe journées internationales d'archéologie mérovingienne de Soissons (19-22 Juin 1986) », , p. 3-7 (lire en ligne).
- Pascale Bourgain et Martin Heinzelmann, « « Courbe-toi, fier Sicambre, adore ce que tu as brûlé » : à propos de Grégoire de Tours, Hist., II, 31 », Bibliothèque de l'École des chartes, Paris / Genève, Librairie Droz, t. 154, 2e livraison, , p. 591-606 (lire en ligne).
- Geneviève Bührer-Thierry et Charles Mériaux, La France avant la France : 481-888, Paris, Belin, coll. « Histoire de France » (no 1), , 687 p. (ISBN 978-2-7011-5302-5, présentation en ligne), [présentation en ligne].
- Gaston Duchet-Suchaux et Patrick Périn, Clovis et les Mérovingiens, Paris, Tallandier, coll. « La France au fil de ses rois », 2002, (ISBN 978-2-235-02321-4).
- Léon Fleuriot, Les Origines de la Bretagne : l'émigration, Paris, Payot, coll. « Bibliothèque historique » (no 34), (1re éd. 1980), 353 p. (ISBN 2-228-12711-6, présentation en ligne), [présentation en ligne], [présentation en ligne].
- Patrick J. Geary, Le Monde mérovingien : naissance de la France [« Before France and Germany : The Creation and Transformation of the Merovingian World »], Paris, Flammarion, coll. « Histoires Flammarion », , 293 p. (ISBN 2-08-211193-8, présentation en ligne)Réédition : Patrick J. Geary, Le Monde mérovingien : naissance de la France [« Before France and Germany : The Creation and Transformation of the Merovingian World »], Paris, Flammarion, coll. « Champs. Histoire », , 292 p., poche (ISBN 978-2-08-124547-1).
- Marie-Céline Isaïa, Remi de Reims : mémoire d'un saint, histoire d'une Église, Paris, Éditions du Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France » (no 35), , 919 p. (ISBN 978-2-204-08745-2, présentation en ligne).
- Edward James, « Childéric, Syagrius et la disparition du royaume de Soissons », Revue archéologique de Picardie, nos 3-4 « Actes des VIIIe journées internationales d'archéologie mérovingienne de Soissons (19-22 Juin 1986) », , p. 9-12 (lire en ligne).
- Stéphane Lebecq, Nouvelle histoire de la France médiévale, vol. 1 : Les origines franques, Ve – IXe siècle, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Points. Histoire » (no 201), , 317 p. (ISBN 2-02-011552-2).
- Renée Mussot-Goulard, Clovis, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », , 126 p. (ISBN 978-2-130-48373-1, OCLC 2130483739).
- Patrick Périn, Clovis et la naissance de la France, Éditions Denoël, coll. « L'Histoire de France », (ISBN 978-2-207-23635-2).
- Patrick Périn (avec la collaboration de Monique et Gaston Duchet-Suchaux), Clovis. Archéologie et histoire, Paris, Errance, 1996, 160 p.
- Patrick Périn, « La tombe de Clovis », dans Media in Francia : recueil de mélanges offert à Karl Ferdinand Werner à l'occasion de son 65e anniversaire par ses amis et collègues français, Maulévrier / Paris, Hérault / Institut historique allemand, , XV-551 p. (ISBN 2-903851-57-3, lire en ligne), p. 363-378.
- Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, (ISBN 2-2135-9632-8), [présentation en ligne].
- Michel Rouche (dir.), Clovis, histoire et mémoire : actes du Congrès international d'histoire de Reims, 19-25 septembre 1996, vol. 1 : Le baptême de Clovis, l'événement, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , XIX-929 p. (ISBN 2-84050-079-5).
- Michel Rouche (dir.), Clovis, histoire et mémoire : actes du Congrès international d'histoire de Reims, 19-25 septembre 1996, vol. 2 : Le baptême de Clovis, son écho à travers l'histoire, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, , XII-915 p. (ISBN 2-84050-079-5).
- Georges Tessier, Le baptême de Clovis : 25 décembre 496 (?), Paris, Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France » (no 1), , 427 p. (présentation en ligne), [présentation en ligne].Réédition : Georges Tessier, Le baptême de Clovis : 25 décembre 496 (?), Paris, Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France », , 2e éd. (1re éd. 1964), 420 p. (ISBN 2-07-026218-9).
- Laurent Theis, Clovis, de l'histoire au mythe, Bruxelles, Éditions Complexe, coll. « Le Temps et les hommes », (ISBN 978-2-87027-619-8).
- Karl Ferdinand Werner (sous la direction de Jean Favier), Histoire de France, t. 1 : Les origines : avant l'an mil, Paris, Librairie générale française, coll. « Références » (no 2936), (1re éd. 1984, Fayard), 635 p. (ISBN 2-253-06203-0).
- Karl Ferdinand Werner, « De Childéric à Clovis : antécédents et conséquences de la bataille de Soissons en 486 », Revue archéologique de Picardie, nos 3-4 « Actes des VIIIe journées internationales d'archéologie mérovingienne de Soissons (19-22 Juin 1986) », , p. 3-7 (lire en ligne).
Parné
[modifier | modifier le code]Mr Mme Mlle
Histoire
[modifier | modifier le code]L'origine de Parné est à chercher dans une villa galloromaine située en bordure de la voie romaine en contrebas du village. Le cimetière mérovingien du domaine devient le site de construction de l'église primitive reconstruite au XIe siècle avec réutilisation de morceaux de sarcophages en falun.
Quand l'église est cédée par les seigneurs du lieu à l'abbaye Saint-Nicolas d'Angers à la fin du XIe, les terres autour sont destinées à constituer un bourg qui se constitue proche de l'église et sur trajet du chemin très fréquenté de Tours au Mont-Saint-Michel, chemin valais puis chemin rennais et ensuite chemin montais[note 1],[12].
Plusieurs maisons médiévales correspondent à la reconstruction après la Guerre de Cent Ans, elles sont aménagées avec une cave de tisserand, activité majeure dans le Maine et à Parné jusqu'au XVIIIe siècle[note 2].
En 1818, utilisant une veine de calcaire carbonifère deux usines de four à chaux sont construites avec leur logements ouvriers encore conservés. Cette activité s'arrête au début du XXe.
À la création des cantons (1790), Parné est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[13].
En 1919, Parné devient officiellement Parné-sur-Roc.
Mayenne
[modifier | modifier le code]Quatre retables renaissances (XVe siècle) sont répertoriés en Mayenne, le plus ancien en calcaire peint (1401) représentant une scène de crucifixion dans l'église Notre-Dame de Saulges[14], une autre crucifixion monolithe peinte à l'église de Saint-Berthevin-la-Tannière et deux retables à dais, un sculpté dans le tuffeau à l'église Saint-Sixte de La Chapelle-Rainsouin, un en bois peint exposé au musée du château de Mayenne.
-
Retable de la crucifixion (1401) Saulges -
Retable à dais en bois Mayenne (musée)
La Mayenne a connu une production intense de retables baroques au XVIIe siècle, à l'époque de l'école lavalloise. Beaucoup de ces retables sont encore visibles dans les églises du département, mais l'œuvre des artisans lavallois est aussi visible dans des régions voisines, notamment la Bretagne. L'école lavalloise a périclité à la fin du XVIIe siècle, cédant la place aux artistes angevins. Elle a néanmoins connu un bref renouveau au milieu du XIXe siècle; 36 figurent dans la base palissy.
36 dans le base palissy
Les ensembles les plus conséquents sont[15] :
- Trois retables dans l'église paroissiale d'Ampoigné.
- Huit retables dans l'église paroissiale d'Argentré.
- Trois retables dans l'église de Beaumont-Pied-de-Bœuf.
- Deux retables à Bonchamp-lès-Laval.
- Trois retables à Brécé.
- Cinq retables à Brée.
- Deux retables à Châtres-la-Forêt.
- Trois retables à La Chapelle-Rainsouin.
- Les retables de l'église des Cordeliers de Laval.
- Les retables de la cathédrale de la Sainte-Trinité de Laval.
- Trois retables à Livet.
- Trois retables à Montourtier.
- Deux retables à Saint-Christophe-du-Luat.
- Deux retables à Soulgé-sur-Ouette.
Références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]références
[modifier | modifier le code]- État des lieux 2009, Mairie de Mayenne.
- « Le cœur de la Mayenne : Paysages singuliers - Les villes - Mayenne », Atlas des paysages du département de la Mayenne, .
- « Nuit du 8 au 9 juin 1944 - Bombardement allié de Mayenne », sur Patrimoine du pays de Mayenne (consulté le ).
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