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Doctrine géopolitique

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Dessin satirique de la doctrine Monroe : l'Amérique du Sud est le pré-carré des États-Unis.

Les doctrines géopolitiques ont été utilisées dans les relations internationales pour affirmer la politique extérieure des nations sur la scène mondiale.

Liste par ordre chronologique

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  • Doctrine Monroe (1823) : énoncée le par le président américain James Monroe, elle affirme le principe de non-intervention réciproque des Européens et des Américains sur leurs continents respectifs.
  • Destinée manifeste (années 1840) : idéologie selon laquelle l'expansion de la nation américaine vers l'ouest était une volonté divine.
  • Doctrine de la porte ouverte (1899) : la doctrine de la porte ouverte tend à appliquer à des pays coloniaux la pratique du libéralisme économique[1]. Proclamée en 1899 par William McKinley à l'égard de la Chine[2], elle induit plus particulièrement de la part de celle-ci un traitement égal de toutes les nations étrangères sans égard particulier envers le Japon[3].
  • Doctrine du Big Stick (1901) : énoncée le par le président américain Theodore Roosevelt, elle vise la protection des intérêts économiques des États-Unis en Amérique latine.
  • Doctrine Calvo : elle propose d'interdire l'intervention diplomatique avant que tous les recours locaux aient été essayés.
  • Doctrine Drago (1902) : énoncée en 1902 par le ministre des affaires étrangères argentin Luis María Drago, elle affirme qu'aucun pouvoir étranger, y compris les États-Unis, ne peut utiliser la force contre les nations américaines afin de recouvrer des dettes.
  • Corollaire Roosevelt (1904) : prononcé le par Theodore Roosevelt qui fait une interprétation expansionniste de la doctrine de Monroe.
  • Doctrine Tobar (1907) : formulée en 1907 par le ministre des affaires étrangères de l'Équateur Carlos Tobar, elle propose que tout gouvernement issu d'un coup d'État soit confirmé par des élections libres avant d'être reconnu internationalement.
  • Doctrine Wilson (1918) : elle résulte du discours des Quatorze Points prononcé le par le président américain Woodrow Wilson et introduit le concept de Société des Nations, une organisation destinée à préserver l'intégrité territoriale et l'indépendance politique de toutes les nations.
  • Mémorandum Clark (1928) : à la suite notamment de la 6e conférence panaméricaine de La Havane, qui a dégénéré, les États-Unis décident d'infléchir leur politique du Big Stick[4]. La publication du Memorandum Clark annonce une politique de désengagement et de dialogue avec l'Amérique Latine.
  • Doctrine Estrada (1930) : formulée le par le ministre des Affaires étrangères du Mexique Genaro Estrada, elle prolonge la doctrine Tobar et indique que le Mexique ne doit pas juger les gouvernements issus de coup d'État au motif que cela serait une ingérence dans leur souveraineté.
  • Doctrine Stimson (1932) : énoncée le par le secrétaire d'État américain Henry Stimson, afin de signifier la non-reconnaissance des conquêtes japonaises en Mandchourie et, plus généralement, l'illégitimité diplomatique de conquêtes par la force armée.
  • Politique de bon voisinage (présidence de Franklin Delano Roosevelt) : les États-Unis se retirent de plusieurs pays d'Amérique latine. L'administration américaine n'intervient pas lorsque le président mexicain nationalise les industries du pétrole.

Doctrines liées au continent européen

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Doctrines contemporaines

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Notes et références

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  1. Georges Fischer, Le parti travailliste et la doctrine de la porte ouverte, in Politique étrangère, 1968, vol. 3, p. 361.
  2. Philippe Lemarchand, Olivier Amar, Atlas des États-Unis : les paradoxes de la puissance, Éditions Complexe, 1998, p. 262
  3. G. E. H., La Mandchourie et la Doctrine de la Porte Ouverte (Johnson Long), in Pacific Affairs, Vol. 7, no 2, juin 1934, p. 215-217.
  4. René Girault, Robert Franck, Turbulente Europe et nouveaux mondes, Petite bibliothèque Payot, 2004, p. 208.

Articles connexes

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